Déplacement dans un froid de glace
Jodoigne envahit le parc de la Dodaine
Ce n'est certes pas un palace
Mais les jeunes sont prêts à se donner de la peine
Les demoiselles ont mangé du lion
Et les garçons n'ont pas laissé le tigre à la maison
Le résultat souffle en tornade
Marée noire laissant les rouges dans la panade
Belle présence au rebond
Aucune hésitation sur les interceptions
Les balles perdues sont vite oubliées
Devant des lignes bien calibrées
Les phases travaillées sont présentées
Des tirs difficiles sont prestement emballés
Notre tchatcheur préféré y a mis son premier panier
Tandis que d'autres ont engrangé en quantité
Ailiers, pivots, meneurs parfaitement accordés
Nous ont offert une partition de qualité
Le résultat au marquoir est sans appel
Avec trente points d'avance, Jodoigne quitte la chapelle
samedi 23 février 2013
vendredi 22 février 2013
Saucisse, purée, compote
Saucisses, pommes de terre et quelques fruits
Le placard et le frigo ne sont pas bien remplis
J'ai pourtant bien envie de cuisiner
Et aux fourneaux doucement me réchauffer
Cuisez donc ce boyau
Avant qu'il ne soit tordu
À four pas trop trop chaud
Le temps n'est pas perdu
Des racines grabataires
Veulent se frotter de sel de mer
Passez-moi la muscade
Et la crème en bonne rasade
Pommes et poires se rencontrent
Au bar à vin de la mère Noëlle
Et sensuellement se fondent
Pour un péché véniel
Dans la cuisine, le bonheur
Se colore à la chaleur
Et rime avec simplicité
De préférence, le tout improvisé
Le placard et le frigo ne sont pas bien remplis
J'ai pourtant bien envie de cuisiner
Et aux fourneaux doucement me réchauffer
Cuisez donc ce boyau
Avant qu'il ne soit tordu
À four pas trop trop chaud
Le temps n'est pas perdu
Des racines grabataires
Veulent se frotter de sel de mer
Passez-moi la muscade
Et la crème en bonne rasade
Pommes et poires se rencontrent
Au bar à vin de la mère Noëlle
Et sensuellement se fondent
Pour un péché véniel
Dans la cuisine, le bonheur
Se colore à la chaleur
Et rime avec simplicité
De préférence, le tout improvisé
lundi 11 février 2013
Match Liège-Ostende du 8 février
Départ en vitesse supersonique
Sous un faisceau de neige photonique
Liège reçoit ce soir Ostende
Matthew et sa côtière bande
La première possession est liégeoise
Et sur une faute de Wright deux premiers points à l'ardoise
Le meneur se trompe parfois d'équipier
Et au panier s'en va monter
Un manque de présence au rebond offensif
Est compensé par plus de bonheur au rebond défensif
Mais que vaut de contre-attaquer
Lorsqu'à l'anneau on n'ose aller ?
La défense se révèle habilement serrée
Quand l'on saute à trois, parfaitement synchronisés
D'un petit point, le quart temps est gagné
Sous l'enthousiasme des nombreux spectateurs
Invités par un bien connu rapide restaurateur
Le ballon parfois se joue et se gausse
Pénètre l'anneau, tourne et ressort
Telle une toupie en folie...
Ioann expérimente un regard de tueur
Et le panier du ballon ne voit qu'une victorieuse lueur
Mais Ostende de reprendre vitesse
Le cuir exprime l'ivresse
Dunker n'est pas caresse
L'avantage passe alternativement
À l'est et à l'ouest, hésitant
Un dernier panier de l'extrême
Et sur la sonnerie du repos annoncé
Ostende prend de justesse deux unités avancées
À la reprise, Liège reprend le ballon
Mais il ne veut point tourner rond
Ostende creuse sinon la houle
Au moins le score
Au grand dam de la liégeoise foule
À dix points encaissés, temps mort
Est une vivante nécessité
Il faut dare-dare la fuite endiguer
Si l'on ne veut rester au port
Parfois une faute non sifflée peut être bénéfique
Quand derrière Pierre-Antoine met tranquillement
Un beau panier mirifique
Dont les trois unités chatouillent agréablement
Le score de nos hôtes sur ce parquet glissant
Parfois une faute sifflée peut être maléfique
Quand elle annule le panier
Cela rend le public colérique
Et la sauce monte encore
Quand un marché est à Ioann sifflé à tort
L'agressivité des côtiers
Les met rapidement dans un problème de fautes
Le match va-t-il se jouer
Sur les lancers francs ou les balles perdues
D'un adversaire pourtant de la haute ?
Un début de bagarre est maitrisé
Par trois hommes en bleu vêtement
Dont les coups de sifflets contestés
Se succèdent rapidement
Dans une ambiance de plus en plus échauffée
Le reste du quart temps est un vrai festival
Et non spectacle de carnaval
Les erreurs du départ sont effacées
À trois minutes trente-trois, débit et crédit sont équilibrés
Liège va-t-il forcer l'avantage ?
Cinq minutes de prolongation
C'est parfois mortellement long
Mais cette fois bien trop court
Pour éviter les débours
Et Liège s'incline devant le prince côtier
Et si pour certains, seule la victoire est belle
Le chemin pour y arriver mérite qu'on s'y attarde
À défaut, tout score n'est qu'une roulette bâtarde
J'y préfère une palette d'émotions
Une salle qui vibre, un jeune talent qui explose
Du suspens pour la prochaine dose
Et la neige qui fond...
Sous un faisceau de neige photonique
Liège reçoit ce soir Ostende
Matthew et sa côtière bande
La première possession est liégeoise
Et sur une faute de Wright deux premiers points à l'ardoise
Le meneur se trompe parfois d'équipier
Et au panier s'en va monter
Un manque de présence au rebond offensif
Est compensé par plus de bonheur au rebond défensif
Mais que vaut de contre-attaquer
Lorsqu'à l'anneau on n'ose aller ?
La défense se révèle habilement serrée
Quand l'on saute à trois, parfaitement synchronisés
D'un petit point, le quart temps est gagné
Sous l'enthousiasme des nombreux spectateurs
Invités par un bien connu rapide restaurateur
Le ballon parfois se joue et se gausse
Pénètre l'anneau, tourne et ressort
Telle une toupie en folie...
Ioann expérimente un regard de tueur
Et le panier du ballon ne voit qu'une victorieuse lueur
Mais Ostende de reprendre vitesse
Le cuir exprime l'ivresse
Dunker n'est pas caresse
L'avantage passe alternativement
À l'est et à l'ouest, hésitant
Un dernier panier de l'extrême
Et sur la sonnerie du repos annoncé
Ostende prend de justesse deux unités avancées
À la reprise, Liège reprend le ballon
Mais il ne veut point tourner rond
Ostende creuse sinon la houle
Au moins le score
Au grand dam de la liégeoise foule
À dix points encaissés, temps mort
Est une vivante nécessité
Il faut dare-dare la fuite endiguer
Si l'on ne veut rester au port
Parfois une faute non sifflée peut être bénéfique
Quand derrière Pierre-Antoine met tranquillement
Un beau panier mirifique
Dont les trois unités chatouillent agréablement
Le score de nos hôtes sur ce parquet glissant
Parfois une faute sifflée peut être maléfique
Quand elle annule le panier
Cela rend le public colérique
Et la sauce monte encore
Quand un marché est à Ioann sifflé à tort
L'agressivité des côtiers
Les met rapidement dans un problème de fautes
Le match va-t-il se jouer
Sur les lancers francs ou les balles perdues
D'un adversaire pourtant de la haute ?
Un début de bagarre est maitrisé
Par trois hommes en bleu vêtement
Dont les coups de sifflets contestés
Se succèdent rapidement
Dans une ambiance de plus en plus échauffée
Le reste du quart temps est un vrai festival
Et non spectacle de carnaval
Les erreurs du départ sont effacées
À trois minutes trente-trois, débit et crédit sont équilibrés
Liège va-t-il forcer l'avantage ?
Cinq minutes de prolongation
C'est parfois mortellement long
Mais cette fois bien trop court
Pour éviter les débours
Et Liège s'incline devant le prince côtier
Et si pour certains, seule la victoire est belle
Le chemin pour y arriver mérite qu'on s'y attarde
À défaut, tout score n'est qu'une roulette bâtarde
J'y préfère une palette d'émotions
Une salle qui vibre, un jeune talent qui explose
Du suspens pour la prochaine dose
Et la neige qui fond...
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