Début de deuxième tour difficile
Pour nos benjamins habiles.
Faire partie de l'élite
Durement se mérite.
Les postes peu à peu se précisent.
Les phases débutantes viennent en analyse.
Les bases ne doivent pourtant pas s'oublier.
Défense homme à homme est toujours à travailler.
Limiter les pertes de balles
Est et reste un problème vital.
L'adversaire est plus vif,
Plus technique et plus attentif.
Les contre-attaques sont rapides.
En réponse, il faut suivre et rester lucide.
Les tirs sont très précis
Et exigent une défensive acrobatie.
Que de balles par l'adversaire interceptées.
L'agressivité est à juguler,
Les passes à peaufiner,
La combattivité à toujours renouveler.
Trois matches déjà de perdus,
Mais les enfants à la tornade sont résolus.
Loïc, au prochain match de février,
La carte Capacité sera bien activée!
dimanche 29 janvier 2012
vendredi 27 janvier 2012
Ambiance Ping
Quelques braves déploient encore au jeu leurs ardeurs
Tandis que se prépare à la salle communale
Samedi soir de folie pour pongistes amateurs ou compétiteurs
À noter une fois de plus au CTT Perwez en dignes annales.
Tables débarrassées de leurs filets.
Palettes aux pochettes reléguées.
Au menu quelques tomatés boulets.
Le service n'est jamais coupé.
Volontaires habituels ou improvisés,
De 7 à 77 ans, l'aide est assurée.
Quelques verres cassés par inadvertance
Ne nuisent pas à l'ambiance.
Petit mot traditionnel du président,
Bénévoles et sponsors remerciant.
Anniversaire fêté au passage.
Le photographe prend images.
Repas et desserts avalés,
Tout le monde est prêt à danser.
Les petits n'ont pas attendu pour chauffer la piste
La venue de leurs parents pongistes.
Makarena et waka waka sont un bon choix
Pour se mettre en folle joie.
Quelques tables sont dégagées
Pour permettre aux danseurs de s'exprimer.
Chorégraphies facilement partagées
Et le nombre de danseurs s'en trouve augmenté.
Pas besoin de caoutchouc épais
Mais fumigènes pour plus d'effet.
Musique latine, pop et rock
Ont remplacé les contres en bloc
Et l'envie de swinger ou gigoter
La nécessité de bien lifter.
Lentement, la salle se vide.
Les pongistes sont impatients de retrouver
Tables et balles de celluloïd
Et d'un coup onze points marquer.
Grâce à tous les volontaires,
Le service était gagnant.
Sous les spots de lumière,
L'esprit Ping était dansant.
Tandis que se prépare à la salle communale
Samedi soir de folie pour pongistes amateurs ou compétiteurs
À noter une fois de plus au CTT Perwez en dignes annales.
Tables débarrassées de leurs filets.
Palettes aux pochettes reléguées.
Au menu quelques tomatés boulets.
Le service n'est jamais coupé.
Volontaires habituels ou improvisés,
De 7 à 77 ans, l'aide est assurée.
Quelques verres cassés par inadvertance
Ne nuisent pas à l'ambiance.
Petit mot traditionnel du président,
Bénévoles et sponsors remerciant.
Anniversaire fêté au passage.
Le photographe prend images.
Repas et desserts avalés,
Tout le monde est prêt à danser.
Les petits n'ont pas attendu pour chauffer la piste
La venue de leurs parents pongistes.
Makarena et waka waka sont un bon choix
Pour se mettre en folle joie.
Quelques tables sont dégagées
Pour permettre aux danseurs de s'exprimer.
Chorégraphies facilement partagées
Et le nombre de danseurs s'en trouve augmenté.
Pas besoin de caoutchouc épais
Mais fumigènes pour plus d'effet.
Musique latine, pop et rock
Ont remplacé les contres en bloc
Et l'envie de swinger ou gigoter
La nécessité de bien lifter.
Lentement, la salle se vide.
Les pongistes sont impatients de retrouver
Tables et balles de celluloïd
Et d'un coup onze points marquer.
Grâce à tous les volontaires,
Le service était gagnant.
Sous les spots de lumière,
L'esprit Ping était dansant.
mercredi 25 janvier 2012
Visage
J'aimerais connaître ton visage
Voir briller dans tes yeux
Le soleil sur la plage
Et simplement être heureux.
J'aimerais connaître la couleur de tes yeux
Sonder la prunelle ou l'iris
Y admirer les flammes du grand feu
Et refléter le rouge de l'ibis.
J'aimerais connaître la douceur de tes lèvres
En découvrir l'arrondi
Y goûter le sel d'un ragoût de lièvre
En sentir la tiédeur engourdie.
J'aimerais toucher la paume de tes mains
Ecarter tes doigts un peu sombres
Y déposer mon noir chagrin
Le regarder fondre à la chaleur de ton ombre.
J'aimerais mesurer l'envergure de tes bras
Y recharger mes batteries
Me délivrer des quotidiens tracas
Et régénérer mes envies.
J'aimerais connaître ton nom
L'épeler en brillantes majuscules
L'apprendre à ma façon
De l'aube à la lueur du crépuscule.
Voir briller dans tes yeux
Le soleil sur la plage
Et simplement être heureux.
J'aimerais connaître la couleur de tes yeux
Sonder la prunelle ou l'iris
Y admirer les flammes du grand feu
Et refléter le rouge de l'ibis.
J'aimerais connaître la douceur de tes lèvres
En découvrir l'arrondi
Y goûter le sel d'un ragoût de lièvre
En sentir la tiédeur engourdie.
J'aimerais toucher la paume de tes mains
Ecarter tes doigts un peu sombres
Y déposer mon noir chagrin
Le regarder fondre à la chaleur de ton ombre.
J'aimerais mesurer l'envergure de tes bras
Y recharger mes batteries
Me délivrer des quotidiens tracas
Et régénérer mes envies.
J'aimerais connaître ton nom
L'épeler en brillantes majuscules
L'apprendre à ma façon
De l'aube à la lueur du crépuscule.
dimanche 22 janvier 2012
Archimède
Le principe d'Archimède s'énonce de la façon suivante:
Tout corps plongé dans un fluide éprouve une poussée verticale, dirigée de bas en haut, égale au poids du fluide qu'il déplace et appliquée au centre de gravité du fluide déplacé.
Mais Archimède, c'est aussi :
Apprécier la chaleur d'un bon bain
Roucouler entre deux bulles au romarin
Couler lentement dans l'eau couleur lavande
Humer l'eucalyptus sur un air d'allemande
Infuser langoureusement dans un lait d'ânesse
Macérer dans les effluves de la paresse
Eprouver le plaisir enivrant d'apesanteur
Découvrir la physique aquatique à toute heure
Exister lentement dans l'eau originelle
Merci Archimède et fin de ma ritournelle!
Tout corps plongé dans un fluide éprouve une poussée verticale, dirigée de bas en haut, égale au poids du fluide qu'il déplace et appliquée au centre de gravité du fluide déplacé.
Mais Archimède, c'est aussi :
Apprécier la chaleur d'un bon bain
Roucouler entre deux bulles au romarin
Couler lentement dans l'eau couleur lavande
Humer l'eucalyptus sur un air d'allemande
Infuser langoureusement dans un lait d'ânesse
Macérer dans les effluves de la paresse
Eprouver le plaisir enivrant d'apesanteur
Découvrir la physique aquatique à toute heure
Exister lentement dans l'eau originelle
Merci Archimède et fin de ma ritournelle!
mercredi 11 janvier 2012
Nos journées quotidiennes
Le matin, je me lève tout doucement.
Je m'habille et je pense à ce que je vais faire la journée.
Et après, je vais manger des céréales.
Puis, je vais m'habiller pour l'école.
On est dans la voiture (vroum vroummm...).
Arrivé à l'école , je dépose mon cartable et vais rejoindre mes amis.
Et puis, on va jouer.
À huit heures et demie, la cloche sonne.
Je reprends mon cartable.
Je me mets en rang.
J'attends Madame.
Dès qu'elle arrive, on va en classe.
Après, il y a du travail ou un bricolage.
Puis, il y a la récré de dix heures.
Je joue aux chefs d'équipe ou au messager.
Dès que la cloche sonne, on va se ranger.
Et c'est parti pour quelques heures de travail.
On commence à dîner et on termine à midi et demi.
Vers treize heures trente, on revient en classe.
À quinze heures vingt, la journée est finie.
Je m'habille et je pense à ce que je vais faire la journée.
Et après, je vais manger des céréales.
Puis, je vais m'habiller pour l'école.
Le matin, je me lève en fanfare.
Le réveil a oublié de sonner.
Vite, vite, dare-dare.
Allons préparer le café.
Le réveil a oublié de sonner.
Vite, vite, dare-dare.
Allons préparer le café.
On est dans la voiture (vroum vroummm...).
Arrivé à l'école , je dépose mon cartable et vais rejoindre mes amis.
Et puis, on va jouer.
À huit heures et demie, la cloche sonne.
Dans la voiture, la journée se prépare en pensées.
Le trajet n'est pas très long.
Une réunion pour commencer la matinée.
Penser à ma prochaine intervention.
Le trajet n'est pas très long.
Une réunion pour commencer la matinée.
Penser à ma prochaine intervention.
Je reprends mon cartable.
Je me mets en rang.
J'attends Madame.
Dès qu'elle arrive, on va en classe.
Arrivée au parking et place en toute extrémité.
Cette société aura toujours un problème de mobilité.
La réunion est annulée en dernière minute.
J'aurais pu finir mon petit-déjeuner. Flûte!
Cette société aura toujours un problème de mobilité.
La réunion est annulée en dernière minute.
J'aurais pu finir mon petit-déjeuner. Flûte!
Après, il y a du travail ou un bricolage.
Puis, il y a la récré de dix heures.
Je joue aux chefs d'équipe ou au messager.
Dès que la cloche sonne, on va se ranger.
Pas de récré, juste un rapide café.
Ma messagerie continue à déborder.
Le téléphone sonne encore et toujours.
Faut-il vraiment ma voix en retour ?
Ma messagerie continue à déborder.
Le téléphone sonne encore et toujours.
Faut-il vraiment ma voix en retour ?
Et c'est parti pour quelques heures de travail.
On commence à dîner et on termine à midi et demi.
Vers treize heures trente, on revient en classe.
À quinze heures vingt, la journée est finie.
Un sandwich devant le PC.
Le planning d'équipe à réviser.
À quinze heures vingt, ma journée est loin d'être terminée.
Et demain, tout sera à recommencer...
Le planning d'équipe à réviser.
À quinze heures vingt, ma journée est loin d'être terminée.
Et demain, tout sera à recommencer...
[Texte écrit par mon fils de 9 ans et moi...]
jeudi 5 janvier 2012
Tempête
Tu résonnes encore à mes oreilles, triste enchanteresse.
D'Eole, tu n'es cependant point la déesse.
Tes perles de nacre sur moi ricochent et me blessent.
Tes étreintes me sont mille morsures, nulles caresses.
Pourquoi m'abats-tu ainsi de tant de haine ?
T'ai-je donc fait tant de peine ?
Devant toi, céans, je ploie, je rampe, je me traîne.
Sous la force abrupte de ta fétide haleine.
Tu aimas pourtant le rouge sucré de mon fruit cet été.
Tu te délectas de mon sang, lentement vinifié.
Tu te repus de mes chairs tendres et miellées.
Mon âme s'évanouit au cœur de ton sombre voile.
Le néant remplace peu à peu les scintillantes étoiles.
Je m'éteins, je me meurs, je trépasse, ô amour féal!
D'Eole, tu n'es cependant point la déesse.
Tes perles de nacre sur moi ricochent et me blessent.
Tes étreintes me sont mille morsures, nulles caresses.
Pourquoi m'abats-tu ainsi de tant de haine ?
T'ai-je donc fait tant de peine ?
Devant toi, céans, je ploie, je rampe, je me traîne.
Sous la force abrupte de ta fétide haleine.
Tu aimas pourtant le rouge sucré de mon fruit cet été.
Tu te délectas de mon sang, lentement vinifié.
Tu te repus de mes chairs tendres et miellées.
Mon âme s'évanouit au cœur de ton sombre voile.
Le néant remplace peu à peu les scintillantes étoiles.
Je m'éteins, je me meurs, je trépasse, ô amour féal!
mardi 3 janvier 2012
Eloge de la paresse
Goûter au bonheur de la paresse
N'est pas folle faiblesse.
Traîner au lit ou en pyjama
Est un vrai plaisir de roi.
Ralentir le trépidant rythme,
En inverser le népérien logarithme.
Profiter de l'instant présent
Et simplement prendre du bon temps.
Penser aux autres, certes, mais à soi
Ecouter de douces mélodies
Savourer la chaleur du foyer
Rêvasser en pyjama de soie
Ecrire du vent la bleue rapsodie
Lentement et intensément exister...
N'est pas folle faiblesse.
Traîner au lit ou en pyjama
Est un vrai plaisir de roi.
Ralentir le trépidant rythme,
En inverser le népérien logarithme.
Profiter de l'instant présent
Et simplement prendre du bon temps.
Penser aux autres, certes, mais à soi
Ecouter de douces mélodies
Savourer la chaleur du foyer
Rêvasser en pyjama de soie
Ecrire du vent la bleue rapsodie
Lentement et intensément exister...
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