Vide
Organisé
Ralentissant le
Tempo
Explosif du
Xylophone
lundi 30 avril 2012
dimanche 29 avril 2012
Poésie à toutes les sauces
[version française]
Prose
Organisée
En
Sonorités
Intenses et
Enivrées
[version étoilée]
Pleurer
Océaniquement d'
Émotion
Saturnienne devant l'
Immensité
Etoilée
[version érotique]
Plaisir
Orgasmique
Entrainant une
Sensation
Intime d'
Extase
[version fruitée]
Pamplemousse et
Orange
En marmelade
Salak et
Icaque
En salade
[version tissée]
Popeline d'hier
Organdi mordoré
Eponge mousseuse
Soie précieuse
Indienne colorée
Etamine légère
[version informatique]
Programme
Organisé
Énumérant une
Suite d'
Informations
Explosives
[version pâtissière]
Profiteroles légères
Opéra bien tentant
Éclair au chocolat
Soufflé retombant
Indigestion passagère
Éclair au moka
Prose
Organisée
En
Sonorités
Intenses et
Enivrées
[version étoilée]
Pleurer
Océaniquement d'
Émotion
Saturnienne devant l'
Immensité
Etoilée
[version érotique]
Plaisir
Orgasmique
Entrainant une
Sensation
Intime d'
Extase
[version fruitée]
Pamplemousse et
Orange
En marmelade
Salak et
Icaque
En salade
[version tissée]
Popeline d'hier
Organdi mordoré
Eponge mousseuse
Soie précieuse
Indienne colorée
Etamine légère
[version informatique]
Programme
Organisé
Énumérant une
Suite d'
Informations
Explosives
[version pâtissière]
Profiteroles légères
Opéra bien tentant
Éclair au chocolat
Soufflé retombant
Indigestion passagère
Éclair au moka
jeudi 26 avril 2012
Lunatiques
Lac endormi sous la lumière irisée
Union sauvage de deux corps attirés
Nature envahie par la brume délayée
Ambroisie tendrement partagée
Tente plantée sur les berges étouffées
Insouciance d'un instant d'ivresse étourdie
Quartzite brillant dans le calme de la nuit
Unisson de deux âmes alanguies
Étreintes sous la lune engourdie
Sans artifice dans ce coin de paradis
Union sauvage de deux corps attirés
Nature envahie par la brume délayée
Ambroisie tendrement partagée
Tente plantée sur les berges étouffées
Insouciance d'un instant d'ivresse étourdie
Quartzite brillant dans le calme de la nuit
Unisson de deux âmes alanguies
Étreintes sous la lune engourdie
Sans artifice dans ce coin de paradis
mercredi 25 avril 2012
mardi 24 avril 2012
Escalier
J'aimerais de ce pas quelque peu fatigué
Trouver l'escalier qui mène à tes pensées,
Monter et descendre la voie sinueuse,
Chercher le propylée d'humeur tempétueuse.
J'aimerais de cette glissade coulée
Descendre le divin toboggan, enivrée
Par un jubilatoire et renouvelé moment
Où l'être sort tout droit du néant.
J'aimerais emprunter ce chemin de traverse,
Naviguer sur les quintes et les tierces,
Atteindre le fond de la grotte
Et partager tes secrètes marottes.
J'aimerais ouvrir la fenêtre de ta tanière,
Faire entrer la lactescente lumière,
L'essaimer lentement sous mes pas,
La peindre doucement de mes doigts.
J'aimerais pousser ta lourde et sombre porte,
Étaler l'arc-en-ciel en sylphe accorte,
Partager mes effilochés et flottants nuages,
Et le clair, et l'obscur, en digne descendant du Caravage.
Trouver l'escalier qui mène à tes pensées,
Monter et descendre la voie sinueuse,
Chercher le propylée d'humeur tempétueuse.
J'aimerais de cette glissade coulée
Descendre le divin toboggan, enivrée
Par un jubilatoire et renouvelé moment
Où l'être sort tout droit du néant.
J'aimerais emprunter ce chemin de traverse,
Naviguer sur les quintes et les tierces,
Atteindre le fond de la grotte
Et partager tes secrètes marottes.
J'aimerais ouvrir la fenêtre de ta tanière,
Faire entrer la lactescente lumière,
L'essaimer lentement sous mes pas,
La peindre doucement de mes doigts.
J'aimerais pousser ta lourde et sombre porte,
Étaler l'arc-en-ciel en sylphe accorte,
Partager mes effilochés et flottants nuages,
Et le clair, et l'obscur, en digne descendant du Caravage.
lundi 23 avril 2012
Nuage
Nuée solaire audacieuse pour
Une journée si gracieuse
Andante ou allegro
Garantie dorée d'une douce
Envolée de deux gentilles frimousses
Une journée si gracieuse
Andante ou allegro
Garantie dorée d'une douce
Envolée de deux gentilles frimousses
vendredi 20 avril 2012
Mes doigts filent sur le clavier
Mes doigts filent sur le clavier
En staccato revisité.
La mélodie se dessine.
Point n'est besoin de sourdine.
Dehors, les oiseaux chantonnent.
Mon ami, dans la pièce voisine, fredonne.
Ce morceau en mode majeur m'emporte
Et fait vibrer mon aorte.
Mes doigts glissent sur le clavier
En allegro revisité.
La mélodie se dessine.
Les sons se dissocient et se recombinent.
Dehors, les cloches sonnent.
La voix de mon ami, dans la pièce voisine, résonne.
Ce morceau en mode magistral m'emporte
Et me fait danser au milieu des bistortes.
Mes doigts caressent le clavier
En legato revisité.
Le mélodie se dessine.
La mélancolie se devine.
Dehors, les insectes papillonnent.
Mon ami, dans la pièce voisine, téléphone.
Ce morceau en mode mineur m'emporte
Et fait voler les feuilles mortes.
Mes doigts frôlent le clavier
En adagio revisité.
La mélodie se dessine.
Que ne suis-je ta douce Colombine...
En staccato revisité.
La mélodie se dessine.
Point n'est besoin de sourdine.
Dehors, les oiseaux chantonnent.
Mon ami, dans la pièce voisine, fredonne.
Ce morceau en mode majeur m'emporte
Et fait vibrer mon aorte.
Mes doigts glissent sur le clavier
En allegro revisité.
La mélodie se dessine.
Les sons se dissocient et se recombinent.
Dehors, les cloches sonnent.
La voix de mon ami, dans la pièce voisine, résonne.
Ce morceau en mode magistral m'emporte
Et me fait danser au milieu des bistortes.
Mes doigts caressent le clavier
En legato revisité.
Le mélodie se dessine.
La mélancolie se devine.
Dehors, les insectes papillonnent.
Mon ami, dans la pièce voisine, téléphone.
Ce morceau en mode mineur m'emporte
Et fait voler les feuilles mortes.
Mes doigts frôlent le clavier
En adagio revisité.
La mélodie se dessine.
Que ne suis-je ta douce Colombine...
jeudi 19 avril 2012
Eternels instants, Edgar Kosma
Absurdité de la vie
Ou absurdité du temps
La vie n'a qu'un temps
Et le temps une seule vie.
Former une suite de nombres
Est pour Armand Eugen
Une manière de laisser l'empreinte de ses gènes
Afin de ne pas finir dans la pénombre.
Quand mourir est la seule liberté
Etre ou ne pas être en essence
Est-ce une question de sens
Qui reste dans l'éternité ?
Cédric est un prénom ludique
Qui suit une certaine logique
Le début commence par la fin
Et du grand-père reprend le turbin.
Vingt-six lettres, des mots, une musique
L'atmosphère d'Amélie Poulainc au cinéma
À lire sous la plume d'Edgar Kosma
Une envolée, du style... et des mathématiques!
Ou absurdité du temps
La vie n'a qu'un temps
Et le temps une seule vie.
Former une suite de nombres
Est pour Armand Eugen
Une manière de laisser l'empreinte de ses gènes
Afin de ne pas finir dans la pénombre.
Quand mourir est la seule liberté
Etre ou ne pas être en essence
Est-ce une question de sens
Qui reste dans l'éternité ?
Cédric est un prénom ludique
Qui suit une certaine logique
Le début commence par la fin
Et du grand-père reprend le turbin.
Vingt-six lettres, des mots, une musique
L'atmosphère d'Amélie Poulainc au cinéma
À lire sous la plume d'Edgar Kosma
Une envolée, du style... et des mathématiques!
vendredi 13 avril 2012
Eternels instants
Éternels instants
D'ici ou d'avant
D'ailleurs ou de maintenant
Si la vie pouvait se résumer
En ces précieux moments dans l'infini du néant
En ces quelques secondes de plaisir irradiant
En ce bonheur subtil et transcendant
D'ici ou d'avant
D'ailleurs ou de maintenant
Si la vie pouvait se résumer
En ces précieux moments dans l'infini du néant
En ces quelques secondes de plaisir irradiant
En ce bonheur subtil et transcendant
Erik ou un délire du vendredi...
Divine mélodie
Explosive tragédie
Lumineuse gymnopédie
Irrésistible comédie
Rebelle rhapsodie
Eloquent Erik Satie
http://www.youtube.com/watch?v=9Qfn6gNbEaA&feature=youtube_gdata_player
Explosive tragédie
Lumineuse gymnopédie
Irrésistible comédie
Rebelle rhapsodie
Eloquent Erik Satie
http://www.youtube.com/watch?v=9Qfn6gNbEaA&feature=youtube_gdata_player
Délire en vers sur un ver dans un vert verre sur lit de vair
Du haut de ses escarpins de vair
Elle m'invita à prendre un verre
Vêtue d'un fourreau vert
Tout en écoutant ma litanie en vers.
Je n'avais cure de ses pantoufles de vair
Mais sans hésitation acceptai son verre
Et lui ôtai son vêtement vert
La laissant nue comme un ver.
Etendue sur la couverture de vair
Elle siffla le champagne dans mon verre
Mais sa couleur vira au vert
À la vue de ce minuscule petit ver...
Elle m'invita à prendre un verre
Vêtue d'un fourreau vert
Tout en écoutant ma litanie en vers.
Je n'avais cure de ses pantoufles de vair
Mais sans hésitation acceptai son verre
Et lui ôtai son vêtement vert
La laissant nue comme un ver.
Etendue sur la couverture de vair
Elle siffla le champagne dans mon verre
Mais sa couleur vira au vert
À la vue de ce minuscule petit ver...
mardi 10 avril 2012
Alerte
Tu es jeune bateleur
Avec toute ta candeur.
Je ne suis que simple auteur
Perdue devant ton air rêveur.
Tu es plein d'envies
Aux prémices de ta vie.
Des yeux, tu me poursuis
D'un désir toujours inassouvi.
Quittant du fleuve, les berges
Tu es entré dans l'auberge.
Ton désir bosselait ton pantalon de serge
Espérant me surprendre vierge.
Je me suis cachée.
Tu m'as cherchée.
En riant, nous nous sommes dénichés.
La sirène s'est déclenchée.
Tu m'as découverte.
Je me suis offerte.
Nous nous sommes aimés, certes,
Et la bombe est tombée, ce n'était pas une alerte...
Avec toute ta candeur.
Je ne suis que simple auteur
Perdue devant ton air rêveur.
Tu es plein d'envies
Aux prémices de ta vie.
Des yeux, tu me poursuis
D'un désir toujours inassouvi.
Quittant du fleuve, les berges
Tu es entré dans l'auberge.
Ton désir bosselait ton pantalon de serge
Espérant me surprendre vierge.
Je me suis cachée.
Tu m'as cherchée.
En riant, nous nous sommes dénichés.
La sirène s'est déclenchée.
Tu m'as découverte.
Je me suis offerte.
Nous nous sommes aimés, certes,
Et la bombe est tombée, ce n'était pas une alerte...
Bar à pluie
Tout le monde est au lit
Pas un son, pas un bruit
Tout tourne au ralenti
Trafic du soir ou de nuit
Où es-tu parti, mon bel ami ?
Pourquoi donc as-tu fui ?
Le lumière vire du rose au gris
Le jour s'est prestement enfui
Je me transforme en souris
Et tombe au fond du puits
De toi, je me languis
Reviendras-tu dans notre bar à pluie ?
Pas un son, pas un bruit
Tout tourne au ralenti
Trafic du soir ou de nuit
Où es-tu parti, mon bel ami ?
Pourquoi donc as-tu fui ?
Le lumière vire du rose au gris
Le jour s'est prestement enfui
Je me transforme en souris
Et tombe au fond du puits
De toi, je me languis
Reviendras-tu dans notre bar à pluie ?
Impatiens
Impatiente n'est point
Ma mie,
Prenant le temps d'
Attendre la
Tendresse laisser
Infuser ses émotions
En de
Naissants
Sentiments.
Ma mie,
Prenant le temps d'
Attendre la
Tendresse laisser
Infuser ses émotions
En de
Naissants
Sentiments.
dimanche 8 avril 2012
Lune
Ce soir à la brune,
J'ai supplié la lune.
Elle m'a trouvé importune
Et sans mesure aucune,
M'a envoyé dans les dunes.
Devant cette infortune,
J'ai plongé dans la lagune
Pour y noyer ma rancune
Aspirant à une fin commune
En dépit d'une maladie auto-immune.
Y ayant trouvé des thunes
J'ai fini par acheter des prunes.
Cette nouvelle et bonne fortune
M'a semblé bien opportune
Pour combler mes lacunes.
Par un court billet de runes,
J'ai invité mon amant dans la tribune
Mais sans lumière de l'arrogante lune,
Il s'est pris les pieds dans les callunes.
Moralité: à chacun de décrocher la lune
Pour séduire sa chacune.
J'ai supplié la lune.
Elle m'a trouvé importune
Et sans mesure aucune,
M'a envoyé dans les dunes.
Devant cette infortune,
J'ai plongé dans la lagune
Pour y noyer ma rancune
Aspirant à une fin commune
En dépit d'une maladie auto-immune.
Y ayant trouvé des thunes
J'ai fini par acheter des prunes.
Cette nouvelle et bonne fortune
M'a semblé bien opportune
Pour combler mes lacunes.
Par un court billet de runes,
J'ai invité mon amant dans la tribune
Mais sans lumière de l'arrogante lune,
Il s'est pris les pieds dans les callunes.
Moralité: à chacun de décrocher la lune
Pour séduire sa chacune.
samedi 7 avril 2012
Et si c'était... (écriture à trois voix)
Et si c'était elle...
L'inconnue qui m'est semblable et semble effleurer ma vie...
Elle qui ne me connait pas...
Mais qui tout bas sait s'adresser à moi...
Ses paroles m'intriguent plus qu'elles m'apaisent...
Je me sens pour une fois comme dans un rêve...
Ressent-elle mes pensées qui lui sont adressées..
Et si c'était elle...
Cette âme enfin angélique...
Qui ferait de mon être noir une lumière idyllique...
Je m'endors avec le sourire
En pensant à elle...
Et si c’était Lui...
Ses passages sur ma page restent silencieux
Il laisse rarement un message,
Seulement un sourire...
Ses textes me troublent,
Ses mots me caressent
Son univers me transporte
Je ne le connais pas...
Et pourtant j'ai cette étrange impression
Que nous nous connaissons...
Il m’estime être force et mystère...
Et si c’était lui...
Le reflet de mon âme
Le miroir de mon coeur
L'aura de mon être
Et si c’était lui... Mon Autre...
Et si c'était nous...
Pourquoi pas, soyons fous
Entre chiens, entre loups
Un peu aigre, un peu doux
Nous en ultime partage
Evitant ainsi le solitaire naufrage
Dans le miroir une seule et commune image
Et ci c'était nous...
Non pas deux individualités
Mais belle complémentarité
D'émotions reflétées
Pour un futur redessiné.
Par Davinci, Fabienne et Marie
http://davinci72.blogspot.com/
http://fabi6000.blogspot.com/
L'inconnue qui m'est semblable et semble effleurer ma vie...
Elle qui ne me connait pas...
Mais qui tout bas sait s'adresser à moi...
Ses paroles m'intriguent plus qu'elles m'apaisent...
Je me sens pour une fois comme dans un rêve...
Ressent-elle mes pensées qui lui sont adressées..
Et si c'était elle...
Cette âme enfin angélique...
Qui ferait de mon être noir une lumière idyllique...
Je m'endors avec le sourire
En pensant à elle...
Et si c’était Lui...
Ses passages sur ma page restent silencieux
Il laisse rarement un message,
Seulement un sourire...
Ses textes me troublent,
Ses mots me caressent
Son univers me transporte
Je ne le connais pas...
Et pourtant j'ai cette étrange impression
Que nous nous connaissons...
Il m’estime être force et mystère...
Et si c’était lui...
Le reflet de mon âme
Le miroir de mon coeur
L'aura de mon être
Et si c’était lui... Mon Autre...
Et si c'était nous...
Pourquoi pas, soyons fous
Entre chiens, entre loups
Un peu aigre, un peu doux
Nous en ultime partage
Evitant ainsi le solitaire naufrage
Dans le miroir une seule et commune image
Et ci c'était nous...
Non pas deux individualités
Mais belle complémentarité
D'émotions reflétées
Pour un futur redessiné.
Par Davinci, Fabienne et Marie
http://davinci72.blogspot.com/
http://fabi6000.blogspot.com/
Utriculaire
T empétueuse ou tendre
R osse ou raffinée
I nsoumise ou indomptable
C annibale ou câline
U rticante ou ultra-douce
L ascive ou langoureuse
A rrogante ou adorable
I ndocile ou irrésistible
R ebelle ou rougissante
E puisante ou émotive
Et vous, comment aimez-vous votre plante cannibale ?
Amitié informatique
Partage de mots analgésiques
Complicité mono ou décasyllabique
Discussion basique ou métaphysique
Conversations au demeurant sympathiques
Connivence avec ou sans musique
Découvertes parfois magiques
Peu nous chaut l'absence physique
Quand la présence n'est pas sarcastique
Même si les réactions sont idiosyncrasiques
Complicité mono ou décasyllabique
Discussion basique ou métaphysique
Conversations au demeurant sympathiques
Connivence avec ou sans musique
Découvertes parfois magiques
Peu nous chaut l'absence physique
Quand la présence n'est pas sarcastique
Même si les réactions sont idiosyncrasiques
vendredi 6 avril 2012
lundi 2 avril 2012
Délirer à deux
Détourner
Ensemble
Les
Irrésistibles
Rayons
Etoilés
Rêvassant
A
Définir
Esthétiquement
Un
Xylophone
Ensemble
Les
Irrésistibles
Rayons
Etoilés
Rêvassant
A
Définir
Esthétiquement
Un
Xylophone
Truite
T répidation
R ythmique
U niforme
I mitant la
T rompette
É tonnée
Vive Schubert!
http://www.youtube.com/watch?v=HMyqow09UQQ
R ythmique
U niforme
I mitant la
T rompette
É tonnée
Vive Schubert!
http://www.youtube.com/watch?v=HMyqow09UQQ
dimanche 1 avril 2012
Légèreté
Je me sens bulle légère
Comme le sont les zones paysagères
Au milieu de ces plantes bocagères.
De tes pensées, je ne suis que la passagère
La tendre et gentille bergère
Fragile comme une ondoyante fougère.
De tes paroles, je ne suis que la messagère
Vendant haut la main aux enchères
Ce secrétaire et son entier mystère.
De ta musique, je ne suis pas étrangère
Emportée au milieu de tes airs
Par une mélodie qui m'est chère.
De ta magie, je suis rêveuse usagère
Comme une gourmande boulangère
Dégustant une pâtisserie légère.
De tes baisers, je sors de ma jachère
Goûtant aux plaisirs de la chair
Dans l'ombre de la porte cochère.
Comme le sont les zones paysagères
Au milieu de ces plantes bocagères.
De tes pensées, je ne suis que la passagère
La tendre et gentille bergère
Fragile comme une ondoyante fougère.
De tes paroles, je ne suis que la messagère
Vendant haut la main aux enchères
Ce secrétaire et son entier mystère.
De ta musique, je ne suis pas étrangère
Emportée au milieu de tes airs
Par une mélodie qui m'est chère.
De ta magie, je suis rêveuse usagère
Comme une gourmande boulangère
Dégustant une pâtisserie légère.
De tes baisers, je sors de ma jachère
Goûtant aux plaisirs de la chair
Dans l'ombre de la porte cochère.
Heureux qui comme Ulysse...
Heureux qui comme Ulysse
A fait un long voyage
Maniant à profusion la drisse
Négligeant le voilage.
De la terre à la lune
En bel et bon capitaine
Il rêvait dans la brune
Tout en enfilant ses mitaines.
La tête dans les étoiles
Les baskets sur le pont
Il manqua de gasoil
Et lança un juron.
Le vent était tombé
Il sortit donc les rames
Mais fut vite fatigué
Et lança son hologramme.
La chute de cette histoire
Si tel est mon bon plaisir
Réside dans le noir
Des étoiles en délire.
À vous d'imaginer
Chers lecteurs et lectrices
D'écrire et d'inventer
Où donc finit Ulysse...
A fait un long voyage
Maniant à profusion la drisse
Négligeant le voilage.
De la terre à la lune
En bel et bon capitaine
Il rêvait dans la brune
Tout en enfilant ses mitaines.
La tête dans les étoiles
Les baskets sur le pont
Il manqua de gasoil
Et lança un juron.
Le vent était tombé
Il sortit donc les rames
Mais fut vite fatigué
Et lança son hologramme.
La chute de cette histoire
Si tel est mon bon plaisir
Réside dans le noir
Des étoiles en délire.
À vous d'imaginer
Chers lecteurs et lectrices
D'écrire et d'inventer
Où donc finit Ulysse...
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