L'Ourthe de mon enfance,
Même en nette crue,
Fait admirer sa brillance
Tout en noyant les feuillus.
L'Amblève aux berges caillouteuses
Serpente joyeusement
Parmi les vertes vallées amoureuses
Et chante allègrement.
La Meuse aux rives majestueuses
S'étale lentement
Profitant de l'heure paresseuse
Pour regarder les enfants.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire